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Quel que soit le vin que vous dégustez, efforcez-vous systématiquement d’évaluer son « intensité » en bouche.
De quoi s’agit-il ?
Et bien pour faire simple, l’intensité consiste simplement à décrire le vin comme « léger » ou « fort ».
Vous voyez, ce n’est pas très compliqué.
Et pourtant, c’est essentiel à 2 niveaux :
1/ Evaluer l’intensité du vin vous permet de bien établir les accords mets et vins : la règle de base consiste à équilibrer les intensités entre le plat et le vin.
Voici des exemples basiques :
2/ Connaître l’intensité du vin vous aide à vous prononcer sur le style du vin
Alors voilà quelques pistes pour évaluer l’intensité du vin.
Avant toute chose, je précise que j’utilise le terme « intensité », car il a le mérite d’être explicite : il correspond parfaitement à la sensation gustative de « volume en bouche ».
Mais pour bien faire, il faudrait parler de CORPS.
C’est d’ailleurs ce terme de corps qu’on utilise dans nos fiches de dégustation.
Bien.
Retenez ceci : l’intensité (ou corps, donc) résulte de la combinaison de ces 3 facteurs (du plus important au moins important)
En effet : ces 3 facteurs augmentent la sensation de volume en bouche. Ils créent une sensation d’onctuosité, de puissance.
D’autre part, sachez que cette puissance (encore une autre manière de dire le corps !) semble être atténuée quand vous salivez, d’une salivation fluide.
Or, cette salivation fluide est créée par l’acidité.
Vous voyez l’idée ?
Donc, si vous regardez le schéma ci-dessous, je peux dire que ce vin A (qui a décidément tout pour être corsé), a plus de corps que ce vin B…. car son acidité atténue son corps :
Vous suivez ?
Alors maintenant c’est parti pour la mise en pratique !
Pour cela, rendez-vous sur la journée dégustation du COAM, à Paris : c’est une nouveauté.
Vous avez maintenant la possibilité de suivre un parcours d’initiation à Paris :